Ordo Ab Chaos
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 La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku

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Kisaki Aesuke

Kisaki Aesuke


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MessageSujet: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeLun 6 Juil - 23:32






    Une journée seulement après mon escapade chez les Feles, me voila décidé a aller passer un petit coucou a ces fourbes de Vulpes, en espérant que personne ne me reconnaisse, mon nom typiquement Lupus ne manquerais pas de m’attirer des ennuis. En effet , c’est a se demander qui ne connait pas ma mère vu qu’elle est la seule Lupus a avoir jamais eu une aventure consenti avec un Vulpes. Personne, je répond a leur place. Toujours est il que tout le monde a l’Ouest me connait. En tant que journaliste pour la plus part. Encore une fois, c’est à l’aube que je me décide a sortir faire mon escapade chez les Vulpes, les chefs étant plutôt nocturne, j’avais peu de chance de me faire repérer. Par mesure de précaution, j’ai pris ma fausse carte d’identité, qui me citait comme simple étudiant de l’Ouest. Je n’avais pas une tête assez intelligente pour ressembler a quelqu’un de l’Est.

    Cela faisait quelques minutes maintenant que j’errais dans les rues du quartier Est, repérant ainsi les rues pour une possible fuite a travers le territoire si jamais j’étais réellement repéré, je marchais a la limite du territoire des Lupus ce qui était potentiellement dangereux pour ma personne, mais je ne m’en souciais pas et ne m’en soucierais jamais. Je me connais assez pour le savoir. Je suis arrivé en face d’un bar que je connaissais pour en avoir déjà parlé dans un article de journal. Le « Renard Blanc » était le bar ou Zero s’était battu contre le bras droit féminin de Toshiro. Intéressant. J’ai poussé la porte de l’enseigne un sourire aux lèvres et suis allé m’asseoir a une table proche de celle que Zero et Hideki utilise habituellement, j’ai commandé un Expresso, pour changer du café normal. On me l’a apporté, j’ai sorti mes affaires de journaliste et me suis mis a rédiger un passage pour un prochain article sur le mode de vie des Vulpes. Le barman est venu me voir, étant donné que j’étais le seul client a une heure si matinal, j’ai répondu a ses questions avec bonne humeur alors qu’il s’asseyait sur la chaise en face de moi.


    « Vous êtes écrivain ? »
    « Presque. Je suis journaliste dans un magasine très connu a l’Ouest »
    « Et vous parlez de quoi en ce moment ? »
    « Je suis entrain de rédiger un article sur les différences de mode de vie des différents clans »
    « Notre vie intéresse donc tant l’Ouest ? »
    « Assez en effet. Pas tout les sujets, mais la plus part sont propices a exploiter »

    Un client est entré et s’est assis au bar, le barman est tout de suite allé s’occuper de lui. J’ai noté dans mon brouillon d’article que les Vulpes était beaucoup plus accueillant et chaleureux que les autres clans malgré leur méfiance maladive. Je n’allais pas rester longtemps, le fait d’avoir parlé de mon métiers avec le barman allait forcément m’amener des ennuis. Il fallait donc vite que je me dépêche d’écrire. Je passa donc les minutes suivantes a écrire mécaniquement. Jusqu’à que quelqu’un entre dans le bar et attire mon attention.
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Saku Takehiro

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 12:00

    Ses mains jouaient sur un air classique mais contrairement a beaucoup de fois, les notes qui sortaient du piano étaient plus graves et plus angoissantes. Elle aimait la musique, même si elle aimait ce qui était joyeux, ce genre d’air lui donnait des frissons.
    Même les gens qui passaient devant le salon du QG ne pouvaient s’empêcher de jeter un coup d’œil voir si c’était vraiment Saku qui jouait. Effectivement c’était bien elle.

    Elle s’habilla alors d’un jean et d’une veste a capuche, histoire qu’on ne la reconnaisse pas ainsi que des lunettes de Soleil. Ses longs cheveux attachés en queue de cheval, son déguisement était parfait. Elle eu la confirmation quand l’un des gardes lui demanda qui elle était.
    Satisfaite, elle pu sortir avec la conscience tranquille. Il n’y avait plus qu’à espérer que son odeur ne la trahisse pas. Pour éviter ce genre de situation elle ne s’aventura pas dans les ruelles et prit uniquement les endroits où il y avait du monde.

    Elle s’arrêta au bout d’un moment devant un bar appelé « le Renard Blanc » un petit sourire se fit sur ses lèvres. C’était ici que son frère avait péché la louve de Toshiro. Elle regarda à droite puis à gauche, voir s’il n’y avait personne de suspect et se décida à rentrer.
    Il n’y avait que deux personnes : un jeune assis à une table ainsi qu’un vieillard visiblement client régulier. Aucun danger elle pouvait se détendre un peu.

    Elle s’assit alors à une table et retira sa veste mais ne retira pas ses lunettes de soleil. Elle posa les coudes sur la table, emmêla ses doigts et observa un peu le jeune homme assis un peu plus loin. L’avantage avec les lunettes de soleil c’était qu’on pouvait observer le autres sans qu’il vous remarque.

    « Vous prendrez quoi Mademoiselle ? »

    Le barman s’était approché d’elle, un sourire dragueur pendu a ses lèvres. Elle le regarda et lui lança un sourire avant de lui répondre :

    « Juste un café s’il vous plait, et si vous avez le journal d’aujourd’hui ? »

    « Bien sûr !! J’arrive tout de suite !! »

    Elle avait même changé sa voix d’intonation : plus grave et plus adulte. C’était quand même difficile de ne pas sortir ses petites expressions enfantines mais si c’était pour la ruse elle y arriverait.
    Le jeune homme assis l’intéressait, tout simplement parce qu’elle ne connaissait pas sa tête. Il n’y avait pas grande population chez les Vulpes mais sa mémoire ne la trahissait pas. Elle allait étudier son comportement.

    Le barman lui apporta son café et un journal.

    « Et voilà pour vous !! »

    Elle le remercia et bu une gorgée de son café. Le journal n’avait pas l’air de parler des intrusions des Lupus. C’était compréhensible, il ne fallait pas leur donner d’importance dans le journal de toute façon tout le monde était au courant et jouait la carte de l’ignorance bien qu’ils restaient sur leurs gardes.
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Kisaki Aesuke

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 12:37

    Cette personne, malgré son apparence sombre, j’étais sur de l’avoir déjà vu mais dans un autre contexte. J’ai passé quelques minutes a essayé de me souvenir de son identité. J’ai jeté un coup d’œil au photo et aux documents que j’avais éparpillé sur ma table dans l’espoir d’en faire ressortir un écris potable. Je me suis étiré légèrement. Pour m’éviter d’attraper une crampe a force d’écrire. Mes yeux ébènes la fixait avec autant d’attention qu’elle devait elle-même me regarder. Je fus soudain pris d’un doute, se pourrait il que ce soit celle que je pensais ? Ce ne serait pas très positif pour moi. J’étais juste un peu le journaliste qui livrait des informations a tout le monde sur les clans, aidant ainsi tour a tour tout les clans, bien que ceux qui profitaient des infos que j’avais était le plus souvent les Lupus vu que c’était eux qui ignorait le plus de chose sur les autres clans. Tout ce que je disais sur les Lupus par contre, la plus part du temps, les Vulpes était au courant. Pas de problème dans ce sens là donc. Sauf que pour une raison que j’ignorais , j’avais été catalogué comme pro-Lupus par les clans a cause de la violence de mes écris parfois.

    « Vous prendrez quoi Mademoiselle ? »
    « Juste un café s’il vous plait, et si vous avez le journal d’aujourd’hui ? »
    « Bien sûr !! J’arrive tout de suite !! »

    Voix neutre. Calme, posée et grave, tout était fait pour tromper les gens. Mais arriver a tromper un œil de journaliste qui s’est déjà infiltré jusque dans les quartiers généraux des Vulpes et des Feles, je n’essaierai jamais de pénétrer dans le QG des Lupus hormis le jour ou je voudrais mourir, c’était dur. J’ai regardé autour de moi, le bar était autorisé aux fumeurs, tant mieux. J’ai sorti ce qu’on pourrait appeler une clope de tapette. Mais si je pouvais fumer n’importe quelle marque, lorsque j’étais stressé, je préférais mes clope parfum chocolat. Elles étaient passablement cher et dur a trouver dans cette ville. En fait, je ne les trouvais que par contact avec d’autre gens qui connaissaient des gens , bref, vous connaissez les combines basiques.

    « Et voilà pour vous !! »

    Sans savoir pourquoi, j’ai décalé le brouillon de mon article sur le coté, ai commandé un second expresso et j’ai pris une feuille vierge, regardant cette dernière avec suspicion. Je me suis mis a écrire quelques chose sur cette femme sorti de je ne sais ou, mélangeant ce que je pensais être vrai avec mon imaginaire. J’ai mordillé le bout de mon crayon d’un air amusé. Plus je me relisais, plus cette jeune femme me paraissait être la sœur de Zero. Ce qui ne m’arrangeait pas. J’ai reposé mes yeux sur elle, moins méfiant mais plus curieux que jamais. Si c’était bien elle, que pouvait elle bien faire en dehors du QG par les temps qui court ? Je me posais décidément trop de question. J’allais me remettre a écrire quand le barman, qui n’avait plus personne a servir est revenu s’asseoir en face de moi.

    « Comment vous faites pour avoir des info sur notre mode de vie ? Vous posez des questions ? »
    « Non, je préfère observer les gens et attendre. Par les temps qui court, les gens ne répondent pas aux questions. Tout le monde se méfit de tout le monde et c’est normal. »
    « Oui. Il est vrai qu’après les invasions du début de semaines, tout le monde est sur le qui-vive »

    J’ai esquissé un sourire, j’avais amener le barman a parler du sujet qui m’intéressait sans qu’il ne se rende compte de quelques chose, comme le prouvait son air véritablement curieux quand a ce que j’écrivais.

    « Je n’ai pas remarque beaucoup d’agitation pour un clan censé être le plus menacé… »
    « Notre chef a des méthodes étranges, c’est pour prendre les Lupus de haut je pense »
    « Sans vouloir critiquer votre chef, je pense au contraire que l’ignorer augmentera son agacement et le forcera a augmenter ses attaques, de façon a enfin provoquer une réaction de la part des Vulpes… »

    Décidement, ce que j’aimais faire des débats
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Saku Takehiro

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 13:04

    Chouette, une occasion de l’entendre parler. Le barman s’était assis à la table du jeune homme et commença à engager la conversation. Saku prit le journal, l’ouvrit et le mit a la hauteur de ses yeux, la laissant observer tranquillement. Lui aussi l’avait regardé bizarrement, même trop bizarrement à son gout, c’était suspect elle espérait qu’il ne l’avait pas reconnue.

    La conversation entre les deux commença, elle remarqua immédiatement que le barman utilisa « notre vie » comme si ce n’était pas la même que celui du jeune homme. Un étranger ? Si c’était le cas elle avait eu envie de balancer une chaise sur le barman qui s’apprêtait à révéler des informations qui n’intéressaient que les Vulpes. Son hypothèse fut confirmée au dialogue qui suivit. Un gars de l’ouest, elle en était maintenant persuadée. Il ne faisait déjà pas allégeance aux Vulpes vu qu’il critiqua ouvertement les méthodes du chef.

    Saku eu un flash, il l’avait reconnue. En disant ça il voulait surement observer sa réaction. Mais elle ne le laissa pas maitre de ses suspicions et ne tressaillit pas. Elle tournait les pages du journal comme si elle le lisait véritablement mais toujours d'une oreille très attentive elle analysait les moindres mots qui venait jusquà elle. Ce gars là était très malin...

    « Maintenant que vous le dites je me pose des questions...Mais vous savez, le chef du clan est surement l’homme le plus intelligent de la ville, ça m’étonnerait qu’il n’a pas pensé a cette éventualité. »

    +1 Pour le barman. Mais où il se croyait celui là pour remettre en doute le plan de Zero, de plus il ne savait qu’une parcelle de la raison de ce genre de réaction. Saku était bien placée pour le savoir.

    « Mais vous savez je ne sors pas beaucoup de ce bar je ne suis pas la personne la mieux placée pour vous dire la raison. Vous devriez voir à l’extérieur avec un Vulpes mieux informé !! »

    Bonne idée... Peut être qu’il allait venir vers elle pour peaufiner ses doutes ainsi que récolter certaines informations. Saku se mit à sourire puis reposa le journal pour boire une autre gorgée de son café. Elle l’attendait à bras ouverts... Ce gars là...Il avait des tendances Lupus. Car même un Feles ne s’intéresserait pas d’aussi prêt des Vulpes.

    * Je t’ai cerné mon petit !! T’es foutu !! *

    Elle fut quand même vexée qu’il sous-estime les Vulpes à ce point.
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Kisaki Aesuke

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 13:44

    Blablabla, c’était bien ça que je détestais chez les Vulpes, ils se croyaient toujours supérieur aux autres et bien qu’ils critiquaient le fait que Toshiro soit considéré comme un Dieu, il mettait leur propre chef, presque au rang de Dieu eux aussi. Cherchez l’erreur. Dès qu’on leur parle d’une possible erreur, il réplique en disant que Zero avait surement pensé à ça et avait un plan que lui seul connaissait et tout le tralalala habituel. Ces renards en devenaient lassant parfois. Après quelques hésitations, j’ai répondu au barman.

    « Maintenant que vous le dites je me pose des questions...Mais vous savez, le chef du clan est surement l’homme le plus intelligent de la ville, ça m’étonnerait qu’il n’a pas pensé a cette éventualité. »

    « C’est possible en effet que Zero y ai pensé. En tout cas, j’espère pour lui qu’il l’a fait. Sinon il y a vraiment quelques chose que je ne comprend pas. »

    Je lui ai adressé un sourire amusé, le remerciant ainsi des informations , du peu d’information plutôt, qu’il avait pu me donner sans le savoir. Il s’est levé, allant servir deux clients qui venaient d’entrer, me lancant au passage une phrase qui me mit la puce a l’oreille.

    « Mais vous savez je ne sors pas beaucoup de ce bar je ne suis pas la personne la mieux placée pour vous dire la raison. Vous devriez voir à l’extérieur avec un Vulpes mieux informé !! »

    « Je ne manquerais pas de le faire, même si j’ai mes propres sources. Merci du conseil »

    J’ai regardé ce qu’il restait de ma tasse de café et soupira. Même après deux cafés et une petite discussion bien amusante, je n’avais pas réussit a écrire plus de dix lignes sur ce que je devais faire. Alors que je devais avoir fini l’article dans deux jours, me laissant ainsi encore demain pour aller faire coucou a mes connaissances Lupus qui avec un peu de drogues répondaient facilement a quelques questions. Mes lèvres ont formé un rictus. Les Lupus… Il suffisait que je dise comment je m’appelle pour qu’il me regarde avec des yeux immenses remplit de peur. Bon je sais que mon grand père était un Lupus connu mais quand même…

    J’ai tourné la tête en direction de la sœur de Zero, vu que j’étais sur désormais que c’était elle, j’avais bien remarqué qu’elle avait écouté la conversation que j’avais eu avec le barman et cela m’avait amusé. Mais j’hésitais a aller lui parler car si elle rapportait le fait qu’elle avait parlé avec un journaliste de l’ouest à Zero, ca allait aller mal pour moi, vu que je suis le seul journaliste qui ose aller sur les territoires de clans. Bref, tant pis, je vais prendre le risque je crois. J’ai rangé mes affaires, histoire qu’elle ne voit pas ce que j’avais écris auparavent, surtout ce que j’avais écris sur elle, j’ai juste gardé un calepin et mon crayon dans les mains, me suis levé et je suis allé, sans aucune gêne, m’asseoir sur la chaise devant elle, lancant au passage.


    « Quel intérêt pour la petite sœur du chef des Vulpes, d’écouter la minable discussion d’un journaliste de l’Ouest avec le barman ? »

    J’ai commandé un autre café qu’on m’a apporté, payant au passage celui de Saku, vu que je n’avais que ça a faire. J’ai croisé les bras sur la table, la fixant d’un regard amusé. Bizarrement je sentais que cette conversation allait être enrichissante.
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Saku Takehiro

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 14:06

    Saku observa un instant la scène puis vit le jeune homme se lever et sans aucune crainte venir s’asseoir devant elle. Il lui paya son café, elle n’allait pas dire non mais elle n’allait pas être accueillante pour autant. Il l’avait bien reconnue et se vendit lui-même Saku haussa un sourcil, il espérait l’impressionner et lui faire cracher des informations en la dénonçant? Erreur, Saku n’était pas du genre a parler même si elle se trouvait dans une mauvaise posture.
    Elle ne nia pas le fait qu’il l’ait reconnue, c’était inutile de toute façon mais elle n’enleva pas ses lunettes de Soleil. D’une voix calme et plutôt amusée elle lui répondit :

    « Tu espères peut être que je vais te le dire ? »

    Elle s’installa plus aisément dans sa chaise et lui lança un grand sourire.

    « Soit dit en passant tu es très mal placé pour me poser ce genre de questions. »

    Saku se redressa et appuya ses bras sur la table, glissant légèrement ses lunettes sur son nez, elle montra ses yeux et fixa le jeune homme. Elle l’observa un moment et lui lança en chuchotant afin que personne à part lui ne l’entende :

    « En fait si je vais te le dire... J’observe les gens comme toi qui ont des tendances lupus qui espèrent avoir des informations sur mon clan en s’infiltrant discrètement... »

    Bien entendu c’était un mensonge, elle savait qu’il était assez malin pour le reconnaitre mais c’était volontaire. Et puis au moins elle lui montrait qu’elle était moins bête que ce qu’il pouvait penser. Puisqu’il n’avait pas caché l’avoir reconnu elle non plus ne le cacherait pas.

    Elle se remit correctement, un sourire sadique pendu aux lèvres, elle comptait bien lui faire comprendre qu’être dans cet endroit pour elle n’était pas plus grave que se faire chopper ici pour lui. Mais elle ne lui laissa pas le temps de répondre qu’elle continua normalement :

    « Je peux le dire plus fort si tu veux... »

    Ce n’était pas une menace, elle n’allait pas le dénoncer maintenant. Puisqu’il voulait juste discuter hein ? Elle mettait juste en garde, qu'il ne monte pas trop sur ses grands chevaux sinon ça n'allait pas lui plaire.
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Kisaki Aesuke

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 17:07

    « Tu espères peut être que je vais te le dire ? »

    « Pour dire toute la vérité, je n’espère rien venant de ta part car on ne peut décemment rien attendre d’un Vulpes tel que toi »

    Si la voix de Saku était tourné de façon a être amusé, la mienne était pour une fois des plus sérieuse, bon il est vrai que j’avais malgré mes recherches beaucoup d’apriori sur les Vulpes mais avec un père Vulpes qui a préféré m’abandonner, on se demande bien pourquoi j’ai ses idées. Soupire un peu découragé. J’ai reporté mon attention sur Saku , après quelques secondes d’égarement

    « Soit dit en passant tu es très mal placé pour me poser ce genre de questions. »

    « Etant journaliste, je suis toujours très mal placé pour poser des questions. J’ai l’habitude, c’est pour ça que je ne demande jamais l’avis des gens pour leur en poser. Quitte a ce que je n’ai aucune réponse. »

    « En fait si je vais te le dire... J’observe les gens comme toi qui ont des tendances lupus qui espèrent avoir des informations sur mon clan en s’infiltrant discrètement... »

    Je n’ai jamais essayé de m’attirer volontairement des ennuis mais je pense que cela ne saurait tarder, étant donné que j’essayais toujours d’avoir le dernier mot, la plus part du temps j’y arrivais sans trop parler de ce que je faisais mais avec cette fille, on pouvait s’attendre à tout. Elle n’était pas une Takehiro pour rien. Son nom voulait en lui-même tout dire. Nouveau soupire. Moi qui ne voulait pas m’attarder dans ce quartier car j’avais autre chose a faire, j’étais visiblement pas près de partir avant d’avoir un peu discuté avec cette renarde. J’ai esquissé un moue assez étonné lorsque mon interlocutrice m’a expliqué ce qu’elle venait faire ici. Un sourire s’est profilé sur mes lèvres. Cela aurait pu être convaincant si cela avait été vrai.

    « Je peux le dire plus fort si tu veux... »

    La dernière phrase qu’elle prononça me désarçonna quelques secondes, était elle sérieuse ? Je vais jouer a celui qui ne vois pas de quoi elle parle, vu que c’est a moitié la vérité. Je me suis appuyé confortablement contre le dossier de la chaise. Mordillant ma lèvre avec amusement ou moquerie, au choix.

    « Cela aurai pu être convainquant comme plaidoyer. Mais non. De plus dans ton faux raisonnement, tu tombe complètement a côté de la plaque. De un, je n’ai pas de tendance Lupus, j’ai juste une certaine rancune envers les renards, et de deux, je ne cherche pas a être discret. Sinon je ne serais pas ici entrain de te parler et j’aurai encore moins parler au barman. »

    J’ai terminé ma tasse de café toujours aussi amusé. Je l’ai reposé un peu plus violement que je ne l’ai prise. Soupire a nouveau. Je passe mon temps a soupirer.

    « De plus. Tu aurai pu le dire fort ou non, cela ne m’aurai pas dérangé du tout. J’ai l’habitude des ennuis, et ceux que les Vulpes peuvent m’apporter ne sont rien a coté de ceux des Lupus »

    Je me suis mis a dessiner mon interlocutrice sur mon carnet, parce que je n’avais rien d’autre à faire.
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Saku Takehiro

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 17:54

    Saku l’écouta toute ouïe, il tentait de se justifier et de déjouer les attaques de la renarde. Mais ce qu’il disait ne l’avait pas convaincue, parce qu’il n’utilisait pas les bons mots. Elle l’agaçait un peu, mais c’était intéressant de parler avec un « ennemi » intelligent, pour une fois...Elle observait ses moindres gestes, rien ne passait au travers du scanner de ses pupilles. Un simple mordillement de lèvre ou un tic particulier pouvait être interprété en sa défaveur même s’il niait.

    « Tu parles trop et tu te justifies. C’est donc que quelque part tu me mens....T’es plutôt malin tu sais ? »

    Elle l’observa un moment à travers ses verres noircis et termina à son tour sa tasse de café. Saku s’aperçu qu’il griffonnait quelque chose sur son carnet. Elle se reconnu, il la dessinait. Drôle de manie...Elle finit par enlever ses lunettes, se disant que c’était ridicule de se cacher alors qu’elle était sur son territoire.

    Puis, sans prévenir, Saku posa violement la main sur celle du gars, interrompant ainsi son atelier dessin. Aussi rapidement, elle approcha son visage du sien pour faire en sorte qu’il soit le seul à entendre ce qu’elle avait à dire.

    « Arrête de jouer, je ne suis pas comme tous les Vulpes que tu pourra rencontrer... »

    De son autre main elle attrapa le carnet de note du jeune homme et le lui passa devant les yeux. Le regard dur planté dans le sien, il était rare de voir Saku se comporter de cette façon. Elle restait imprévisible, certains même pensaient qu’elle pouvait avoir une double personnalité.
    Elle continua dans sa lancée :

    « Tu te trahis toi-même. Un simple gars de l’ouest dit tu ? Tu poses des questions, tu mets en doute les plans du chef et t’as une rancune envers les renards...En conclusion : tu n’es surement pas rallié à notre cause et par conséquent j’ai le pouvoir de t’envoyer en cage justement pour espionnage et ce même si tu n’es pas là pour des informations, ta seule présence ici est une bonne raison. »

    Elle lui avait dit tout cela avec sa voix doucereuse et pas du tout associable au contexte. Ca donnait un effet insupportable et assez sadique que beaucoup ne supportaient pas. La jeune fille en profita pour jeter un coup d’œil furtif à la première page du carnet où était marqué le nom du propriétaire. Kisaki Aesuke hein ? ... Sans lui laisser le temps de répondre elle poursuiva

    « Et maintenant ? Convaincant mon plaidoyer monsieur Aesuke ? »
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Kisaki Aesuke

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 18:16

    « Tu parles trop et tu te justifies. C’est donc que quelque part tu me mens....T’es plutôt malin tu sais ? »

    "Oui je le sais. C'est ce qui fait ma renommer a l'Ouest"

    Ais je simplement répondu, ne voyant plus l'intérêt de nier ce qu'elle me disait. Je ne lui ai menti que sur un point, de plus, je n'ai pas réellement menti vu que j'ai tout simplement oublié de parler de ce qui aurai pu être un mensonge ou pas. Le dessin se faisait rapidement, je n'avais aucune envie de prendre des tonnes de temps pour un dessin que j'allais finir par déchirer parce qu'il ne me servait a rien. En effet, la plus part de mes articles sur les Vulpes sont agrémenté de dessin plutôt que de photo pour la simple raison que ce n'était pas franchement discret de sortir un appareil photo au milieu de plein de gens. De plus, on ne s'attend pas a ce qu'un dessin puisse servir a cet usage.

    Je pouvais facilement sentir le regard de la renarde posé sur moi, c'était logique, qu'avait elle d'autre a regarder a part moi ? Oui je sais, je suis un peu narcissique sur les bords, c'est le coté Lupus qui ressort. La mine de mon crayon s'est brisé net au moment ou Saku m'a empêché de continuer mon dessin, le visage a seulement quelques centimètres du sien, je l'ai entendu murmurer


    « Arrête de jouer, je ne suis pas comme tous les Vulpes que tu pourra rencontrer... »

    J'ai violemment retiré mon bras de l'étreinte de sa main pour la simple raison que je ne supportais aucun contact avec presque tout le monde, je ne supporte les contacts que de très peu de gens. Et pour une cause que j'ignore moi même de plus. Si encore je savais d'ou me vient ce refus. Mon carnet me passa plusieurs fois devant les yeux, yeux qui semblaient soudain lancer des éclairs, on ne touche pas a mes affaires, sans mon autorisation et ce n'était pas une petite merde de Vulpes, soeur du chef ou pas qui allait déroger a la règle. Presque feulement de ma part. Feulement de colère. J'avais mille et une raison d'être en colère et la seule qui ressortait était la haine que j'éprouvais pour cette fille qui touchait a mes affaires. Etrange.

    « Tu te trahis toi-même. Un simple gars de l’ouest dit tu ? Tu poses des questions, tu mets en doute les plans du chef et t’as une rancune envers les renards...En conclusion : tu n’es surement pas rallié à notre cause et par conséquent j’ai le pouvoir de t’envoyer en cage justement pour espionnage et ce même si tu n’es pas là pour des informations, ta seule présence ici est une bonne raison. »

    J'en pouvais plus là, j'ai explosé d'un rire amusé sous le nez de la renarde, qu'elle me paraissait stupide a cet instant la jeune Takehiro, tellement niaise aussi. Elle se permettait de me juger sans rien connaitre de moi ce qui était d'une stupidité afligeante pour un clan censé être plus intelligent que les autres. Je n'y ai rien répondu, malgré ce qu'elle m'a demandé peu après.

    « Et maintenant ? Convaincant mon plaidoyer monsieur Aesuke ? »

    Le seul truc qui m'a fait réagir fut l'utilisation de mon nom entier, totalement lupus quoi et qui pouvait m'attirer encore plus d'ennui. Soupire, j'ai lancé d'une voix amusé, malgré la colère qui brillait dans mes yeux et que je ne masquais pas.

    "Evite l'utilisation de mon nom Miss. Le porter est déjà assez dérangeant sans qu'en plus, je ne m'entende appeler comme ça"

    Je suis dans la merde et je cherche la merde encore plus avec mon nom.
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Saku Takehiro

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 19:17

    Le jeune homme se mit à éclater de rire. Il réagissait comme il le voulait, en rien elle ne fut troublée. D’ailleurs c’était le genre de réaction qu’elle avait recherché pour la suite de ce qu’elle prévoyait de faire et c’était tant mieux. Bon elle avouait ne pas trop aimer qu’on se moque ainsi d’elle mais le principal c’était qu’il était tombé dans son piège et n’a pas cherché a se justifier plus que ça.

    *je te tiens *

    Elle le regarda rire, comme si c’était le dernier des imbéciles... La jeune fille attendit patiemment qu’il se calme et resta un moment à l’observer dans le silence. C’était inutile de répondre à ce qu’il venait de dire sinon le débat allait repartir et être interminable. Il était temps pour elle de baisser le rideau et de remettre cette discussion à une prochaine fois.
    Saku remit donc sa veste a capuche, ses lunettes de soleil en prenant bien son temps. Puis elle se leva et lui lança un très joli sourire

    « Puisque tu es blanc et pur tu ne verras pas d’inconvénient à ce que je montre ça à Zero. Il aime bien les écrivains, ils font des choses intéressantes n’est ce pas ? »

    Elle lui montra a ce moment le carnet du jeune homme qu’elle tenait dans sa main. Et sans attendre elle le glissa à l’intérieur de sa veste pour ensuite la refermer. Il pouvait lui sauter dessus, la menacer avec un couteau et récupérer son carnet ce serait une fatale erreur en plusieurs points : déjà il se ferait immédiatement arrêté et de deux il ne ferait que confirmer ce que Saku disait.

    Elle se dirigea tranquillement vers la sortie et se retourna une dernière fois et dans un immense sourire elle le salua :

    « Merci pour le café mon chou !! A bientôt j'espère!! »

    Puis elle passa le pas de la porte après avoir fait signe au barman.
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Kisaki Aesuke

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MessageSujet: Re: La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku   La malchance quand elle nous voit, elle ne nous lâche plus | PV Saku I_icon_minitimeMar 7 Juil - 20:34

    « Puisque tu es blanc et pur tu ne verras pas d’inconvénient à ce que je montre ça à Zero. Il aime bien les écrivains, ils font des choses intéressantes n’est ce pas ? Merci pour le café mon chou !! A bientôt j'espère!! »

    Je l’ai regardé quelques secondes, bien évidement, je ne m’attendais pas a ce qu’elle réagisse comme cela mais soit. Si elle voulait faire ceci qu’elle le fasse, cela ne me dérangeait pas plus que ça. J'ai esquissé un sourire amusé, je l'aimais bien cette fille finalement. C'était la première personne a avoir eu le dernier mot avec moi, et quelques parts, cela me faisait plaisir que cela vienne d'elle, bien que cela risquait de m'attirer des ennuis très prochainement. Dans le carnet qu'elle a récupéré se trouve un certains nombres des dessins des hauts gradés des différents clans, de Madara a Toshiro en passant par Kasumi et en terminant par Saku. Bon le plus regrettable, c'était qu'avec ce carnet j'avais perdu mon interview de Madara mais peu importe, je me souvenais de l'essentiel il me semble. J'ai attrapé le journal en face de moi, et j'ai pris le temps de le lire, chose que je n'avais pas fait depuis longtemps.

    Je reste tellement souvent plongé dans mes écris que j'en oublie de lire ce que l'on dit autour de moi. On ne parlait pas des attaques, en réalité, ce journal résumait la vie des habitants du quartier Est sans se soucier du reste, alors que moi je voulais parler de la vie de tout le monde, de tout les quartiers, comme si la guerre n'était pas une réalité, chose impossible car cette guerre est très profondément implanter dans les moeurs des habitants de tous les quartiers. Même l'Ouest est concerné par la guerre vu que c'est une terre convoité. Et les habitants au milieu de tout ça , se contentaient de subir sans presque rien dire. S'en était désespérant. Je me demandais comment chaque clans vivaient l'atmosphère morbide, devenu quotidienne.

    Je suis resté encore quelques minutes après avoir terminé le journal. Savourant la possibilité que ce soit la dernière fois que je sois plus ou moins autorisé a me trouver sur le territoire de l'Est, cela dépendrait de l'humeur de Zero quand sa soeur lui montrera mon carnet. J'espère qu'il pensera a me le rendre dans tout les cas. Je me suis attaché a mes petits dessins. Soupire. Je me suis levé payant le journal que j'allais emporter puis je suis sorti remettant ma veste auparavant, le froid a l'extérieur était saisissant. J'ai jeté un coup d'oeil autour de moi. La population semblait tellement insouciante mais les fronts étaient plissés, on surveillait son voisin. L'air sentait la peur.

    Le sud avait réussit son coup au final, il avait réussit a infiltrer la peur jusque chez les Vulpes alors que ce clan était le plus courageux. Le ciel était gris, parfaitement représentatif de l'ambiance, de mon humeur, de tout. Une petite renarde est tombé a mes pieds et je l'ai aidé se relever, me faisant remercier par la mère au passage, j'ai esquissé un sourire. La vie aurait pu être belle finalement, c'était peut être ça le pire. Je me suis détourné, repartant a pas léger vers l'Ouest, franchissant la frontière au bout de quelques minutes, repartant dans la monotonie de ma vie qui se résumait encore et toujours a écrire pour informer les gens, car j'estimais que tout le monde avait le droit de savoir.
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